Thérapies alternatives: Comment se positionner?

L’offre des médecines non-conventionnelles ne cesse d’augmenter. Ici un homme consulte un fasciathérapeute pour ses problèmes de dos, là une femme tente de mincir avec l’auriculothérapie. En Suisse, le débat sur l’utilité de ces médecines ou thérapies alternatives, qu’on appelait encore sous peu médecines parallèles, est revenu sur le terrain politique à la faveur d’une initiative populaire pour en réintroduire cinq d’entre elles dans l’assurance maladie de base. En septembre, le parlement a rejeté l’initiative mais elles ont proposé un contre-projet qui y ressemble furieusement. Finalement, c’est le peuple qui tranchera. Pour l’heure, un sondage réalisé par Demoscope auprès de mille deux cents personnes révèle que 81% des sondés y sont favorables.
En France, l’homéopathie fait partie du catalogue de la sécurité sociale depuis longtemps, même si le taux de remboursement a été réduit il y a quatre ans (de 65% à 35%).
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