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L’Église, une et indivisible?

L’Entente des Communautés et assemblées évangéliques de France a tenu un congrès à la Pentecôte sur «l’ADN» de l’Église. Retour avec Jacques Nussbaumer, pasteur et professeur en faculté de théologie.
Charlotte Moulin

Pour vous, l’Église est «une». Est-ce que cela signifie un certain œcuménisme ou l’idée d’une Église «universelle»?

Pas exactement. Au sein de l’Entente des Communautés et assemblées évangéliques de France (CAEF), nous avons choisi de ne pas parler d’Eglise «universelle» pour notre congrès, car c’est un idéal un peu abstrait. Or, l’Eglise que nous identifions comme «une» n’est pas un idéal que l’on voudrait atteindre mais quelque chose dont nous sommes déjà participants en tant que croyants en Jésus-Christ, sauvés par la foi. Au cours du congrès, j’ai voulu expliquer cette manière de définir ce qu’est l’Eglise selon l’Evangile, afin que l’on prenne vraiment conscience de cette identité.

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