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Le pape François contesté au Vatican pour son relativisme

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Évangéliques et catholiques se sont souvent regardés en chiens de faïence. Précurseur de l’ouverture, le pape tente des rapprochements. au détriment de la foi elle-même?

Aujourd’hui mascotte des nouvelles images générées par l’intelligence artificielle, le pape François n’a pourtant pas la cote partout. Son élection en mars 2013 avait suscité de la sympathie dans les milieux protestants, même évangéliques, qui l’ont vu comme un réformateur. Dix ans après, la bienveillance demeure alors que le Vatican est habité de conflits plus ou moins larvés, et que des prélats critiquent le pape, notamment en matière d’évangélisation et de christologie. Les actuels conflits au Vatican, accentués après le décès de Benoît XVI, sont généralement présentés par les médias avec, d’un côté, un pape victime et de l’autre des cardinaux ultra-conservateurs. Populaire, le pape l’est généralement dans les médias, plus que son prédécesseur, mais aussi auprès de nombreux évangéliques peu au fait de l’actualité vaticane.

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