Le facteur religieux, atout dans la coopération

Les réalités inhérentes aux cultures religieuses ont été largement exclues de la coopération au développement jusqu’à la fin du 20e siècle. En cause: une vision occidentale, rationnelle et sécularisée de la société qui considère les croyances spirituelles et religieuses comme les causes d’un retard technologique et intellectuel. Aujourd’hui, «bien que le sujet reste sensible, la communauté internationale reconnaît de plus en plus l’importance de la prise en compte de la religion pour la coopération au développement et la transformation des conflits», affirme Pierre-Alain Eltschinger, porte-parole du Département fédéral des affaires étrangères suisses.
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