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Le consentement, dernière limite à la sexualité ?

Image d'illustration : le consentement
© iStock
Protéger les adolescents en leur évitant de devoir prouver leur innocence lors d’un abus sexuel, c’est l’objectif visé par la proposition de loi votée le 25 janvier. Une simple limite d’âge suffira-t-elle à incarner les enjeux du consentement? Le point.
Celia Evenson

Le consentement en matière de relations sexuelles est revenu dans le débat politique français, dans le sillage de plusieurs affaires qui ont révélé les insuffisances actuelles du droit à protéger les mineurs. Le débat se focalise sur l’âge minimum du consentement. En Suisse à l’inverse, il est question de créer un nouveau délit d’«atteinte sexuelle», punissant le fait de passer outre un refus, au lieu de faire entrer le non-consentement dans la définition du viol. Mais ce concept peut-il se substituer à lui toute seul à une éthique de la sexualité?

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