La fin de vie, un choix?

Jonathan a perdu sa maman de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), une maladie privant la personne de toute autonomie. Pour lui, il n’a pas été question de justifier ou pratiquer l’aide au suicide. Mais ce chrétien engagé a réalisé (également au contact de malades du SIDA) que la réalité est plus compliquée que les principes théoriques. «Les affirmations théologiques concernant le passage de la mort physique à la présence du Seigneur ne sont pas très solides quand il s’agit de voir mourir une personne qu’on aime», confie-t-il.
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