La CLC réorganise
Plusieurs manifestations ont entouré les 60 ans de la CLC. 2011 coïncide aussi avec l’inauguration d’un nouveau point de vente à Valence. Pour des raisons stratégiques et économiques, la librairie a quitté le centre-ville pour s’installer dans un lieu plus accessible, le nouveau pôle évangélique de Valence. En effet, les vastes locaux de la Ligue pour la Lecture de la Bible accueillent désormais les bureaux de «Livr’Afrique» et le magasin CLC. Hervé Lessous, directeur de la CLC confie: «Nous avons le plaisir de retrouver la chaleur fraternelle de ce pôle avec, à la clé, des places de stationnement. Le fait d’avoir des possibilités de parking gratuit est un véritable atout.»
Si une solution a été trouvée à Valence, une inquiétude demeure. Plusieurs des quinze librairies CLC sont à peine rentables. C’est le cas de la librairie de Nîmes, qui fermera ses portes début 2012. «Impossible de renouveler le bail. Depuis que nous avons repris l’enseigne Certitude, en 2005, nous avons toujours été en déficit dans cette ville», indique Hervé Lesssous.
La toute première CLC s’est ouverte à Londres en 1946. Pour ses fondateurs, la page imprimée est un outil important dans l’évangélisation. Cette vision est reprise par Jean Tréboux qui, de Suisse, s’est installé en France pour poser les bases de cette œuvre à Marguerittes, dans les environs de Nîmes. Soixante ans plus tard, quinze librairies portent le sigle CLC et cinquante personnes y travaillent.
Eric Denimal
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Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui – octobre 2011
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