Skip to content

Face au terrorisme, notre devoir d’espérance

© beINSports
Les attaques terroristes se succèdent, franchissant toujours de nouveaux seuils dans la barbarie. Dans ce climat de douleur et de désarroi, quel rôle les chrétiens ont-ils à jouer? Analyse.
Anne-Sylvie Sprenger

Perpétré en pleine messe, l’assassinat du Père Hamel a attiré l’attention sur la communauté chrétienne et ses représentants. Rarement leurs prises de parole n’avaient été aussi sollicitées par les médias, leur message aussi largement diffusé. Pour beaucoup, ils ont pu dès lors se démarquer des discours politiques.
A l’instar de nombre de responsables chrétiens, l’évêque suisse Charles Morerod en a appelé à sortir de cette spirale de la violence et à changer d’attitude face à l’ennemi. Dans sa prise de position officielle, il a clairement mis en garde les Etats du tout-sécuritaire, rappelant que les discours guerriers ne font qu’engendrer toujours plus de terrorisme.
«La victoire de Ben Laden n’avait pas été la destruction des tours jumelles, mais d’avoir réussi à obtenir du président des Etats-Unis une réponse», écrit-il. «C’est cette réponse qui a permis à Ben Laden de recruter beaucoup plus de “soldats” qu’il n’en avait jusque-là.»

Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Poignée de main entre Friedrich Merz (de face, président de la CDU) et Markus Söder (de dos, président de la CSU) lors de la soirée électorale, le 23 février.

L’Allemagne a choisi la stabilité

Le 23 février, les Allemands se sont rendus aux urnes lors d’élections fédérales anticipées. Christel Lamère Ngnambi, politologue, consultant en communication publique et politique qui vit à Düsseldorf, commente les résultats, notamment l’impact du vote…

Publicité