Dernières joies avant la mort

Il est commun de dire que nous ne savons plus mourir, même quand nous revendiquons de le faire avec dignité. Courant de dire, aussi, que nous mourons désormais toujours plus seuls. «Autrefois, on mourait à la maison, en famille; désormais, la plupart des gens meurent à l’hôpital, seuls, entourés d’un personnel désarmé qui a pour vocation de guérir», constate Claudie Guimet, auteur de Dernières joies avant la mort (éd. du Cerf).
Le livre, tout comme le sujet, est à apprivoiser. Au fil des pages, on passe de la peur à la paix, de l’inquiétude à la sérénité. L’auteur, aumônier protestant dans une unité de soins palliatifs de Haute-Savoie, nous fait part d’expériences rassurantes, réconfortantes et souvent surprenantes.
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