Le pasteur, accompagnant ou psy?

Marguerite souffre de dépression et a tenté de se suicider. D’abord soignée par un psychiatre, elle se tourne ensuite vers un psychologue, où elle peut exprimer sa colère par rapport à sa souffrance, ainsi que vers le pasteur de son Eglise. C’est là qu’elle débute une nouvelle vie: «Je sors la tête de l’eau». A-t-elle eu raison de consulter des psys ou aurait-elle dû privilégier un accompagnement pastoral? Ou pour le demander autrement: dans l’accompagnement pastoral, les disciplines psychologiques et la théologie sont-elles complémentaires ou opposées?
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