Face à l’inflation des mots, la Parole est immuable

En 2018, faut-il dire «genre» ou «sexe» lorsqu’on décrit une personne? Parler d’orientation ou d’identité sexuelle? Utiliser un pronom inédit pour parler d’une personne «transgenre»? A mesure que de nouveaux fronts s’ouvrent dans les débats sociétaux, les mots qui s’emploient dans nos conversations changent. Ce tourbillon de nouveautés peut désorienter le chrétien. Doit-il utiliser les expressions en vogue pour être entendu, quitte à se servir de concepts flous ou issus d’une idéologie hostile à la vision biblique? Ou faut-il garder les définitions d’hier, au risque de passer pour un militant ringard d’un ordre injuste, de se couper du groupe ou de rendre son point de vue incompréhensible?
Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes: